Les déchets vagabonds, les laissés pour compte. Ceux qu’on croise le long d’un chemin de fer. Que le vent déplace, que la lumière parvient quand même à faire briller. Des choses qui apparaissent banales mais qui prennent une toute autre dimension dans l’environnement contrôlé d'un studio.
Il y a toujours de la surprise et de l’émerveillement à voir de la matière anonyme se révéler à travers l’éclairage du projecteur, la lentille d’une caméra. C’est ce qui m’a toujours fasciné
NIK MIRUS